Imaginez un grand immeuble de bureaux au cœur d'une grande ville. A 10h30 un lundi matin, l'alarme incendie retentit, provoquant deux actions immédiates et simultanées. Tout d'abord, le service d'incendie est avisé et envoie du personnel et de l'équipement sur le site. Deuxièmement, conformément au plan d'urgence du bâtiment, l'évacuation massive des occupants du bâtiment commence. Alors que les gens affluent de chaque sortie, les camions de pompiers arrivent, pour être bloqués par des barrières de sécurité récemment installées à l'entrée principale du bâtiment. Cette entrée se trouve être le point d'accès le plus proche de la bouche d'incendie principale du bâtiment. Mais c'est le cadet des soucis du gestionnaire de l'immeuble, car l'alarme s'avère fausse. Il n'y a pas de feu. Au lieu de cela, un ex-employé lourdement armé et mécontent d'une entreprise locataire du 12th sol a déclenché l'alarme incendie et a maintenant obtenu un accès sans entrave à sa zone cible. Avons-nous choisi un exemple qui met en lumière un scénario improbable ? À la lumière de la vie quotidienne en ces temps difficiles, la triste réponse est « non ». C'est exactement la même tactique que Nikolas Cruz, ancien étudiant de 19 ans, a utilisée lorsqu'il a déclenché l'alarme incendie à École secondaire Marjory Stoneman Douglas avant de commencer une fusillade de masse il y a moins d'un an. En fait, il existe un potentiel croissant de conflit de conformité au code entre deux disciplines critiques, à savoir les professionnels du feu.tection et de sécurité. Ces feu protecLes conflits de sécurité et de sécurité sont enracinés dans les définitions mêmes de ce que chaque discipline a été conçue pour accomplir.
feu ProtecConflits de sécurité et de sécurité : Une différence de méthodologies
Avant de pouvoir résoudre le conflit, nous devons comprendre comment chaque discipline aborde l'objectif commun : pour assurer la sécurité des personnes, des biens et des actifs tout en assurant la continuité des activités et des opérations.
La science de la sécurité des personnes est basé sur le triangle du feu. Un incendie se produit lorsque les trois éléments du triangle – combustible, oxygène et chaleur – sont présents. Pour fournir un bon feu protection pour tout type d'occupation, la protection incendietecL'ingénieur doit analyser quels types de sources de combustible seront présents dans chaque zone du bâtiment - des casiers à peinture au sous-sol et des revêtements muraux dans les bureaux au câblage recouvert de plastique dans les centres de données. Une fois les sources de combustible identifiées, les matériaux de construction et les protecLes systèmes de protection peuvent être conçus, modélisés et spécifiés pour leurs capacités à résister à la chaleur, empêcher la propagation du feu, supprimer les flammes et contrôler la fumée… jusqu'à l'arrivée des pompiers.
Depuis les premières expériences de ce pays avec des incendies dévastateurs, le corps de l'incendie pratique protecconnaissance des connaissances a connu une croissance exponentielle. Cette base de connaissances se manifeste sous la forme de pro du bâtiment et du feuteccodes de conduite et normes de bonnes pratiques couvrant pratiquement toutes les facettes de la conception et de la construction d'un bâtiment. Le défi du pro du feutecL'ingénieur technique doit suivre ces codes normatifs ou démontrer qu'il respecte l'intention des codes grâce à une conception basée sur les performances. La responsabilité des pompiers et des responsables du bâtiment est de s'assurer que ces codes et normes sont appliqués.
Conclusion : pro du feutecLes professionnels de la construction veulent que les occupants du bâtiment soient retirés d'une situation d'incendie réelle ou potentielle aussi rapidement et complètement que possible. Ils veulent également un accès libre et ouvert au bâtiment permettant aux pompiers de faire leur travail avec un maximum d'efficacité, de rapidité et d'efficacité.
L'art de la sécurité est de créer un environnement sûr et sécurisé pour chaque bâtiment ou installation en fonction des objectifs de sécurité spécifiques du propriétaire, de l'environnement de menace, des risques identifiés et/ou de la compagnie d'assurance qui souscrit les risques. Étant donné que chaque structure de bâtiment présente des défis de sécurité uniques, il n'y a pas de codes fédéraux, étatiques ou locaux actuellement en place pour régir la sécurité dans des types d'occupation spécifiques. Depuis le 9 septembre, de nombreuses industries, associations et agences gouvernementales ont élaboré des directives de sécurité recommandées. Pourtant, en raison de la nature imprévisible des êtres humains, il est peu probable qu'une approche «codifiée» des exigences de sécurité puisse être développée et mise en œuvre de manière cohérente.
Les concepteurs de sécurité, comme leur pro du feutechomologues ingénieurs, s'appuient sur une sorte de "triangle". Le triangle de sécurité comprend trois éléments de conception qui, lorsqu'ils sont équilibrés, peuvent créer un programme de sécurité très efficace et durable. Ces trois éléments comprennent architecsécurité naturelle, tecsécurité technique et sécurité opérationnelle. Chaque élément doit être conçu pour compléter les autres éléments, lorsqu'il est correctement équilibré, un programme de sécurité complet est le résultat.
- Arcstecéléments culturels vont de la construction de bâtiments avec des zones en couches de protection, le contrôle des flux de trafic et les barrières physiques pour forcer la protecprotection contre les bombardements, précautions qui peuvent être prises pour renforcer la capacité d'un bâtiment à résister à une attaque.
- Tecéléments techniques inclure les systèmes - contrôle d'accès, intrusion detecsurveillance, la vidéosurveillance, le commandement, le contrôle et la sécurité des communications et de l'information – qui offrent des niveaux de sécurité spécifiques.
- Éléments opérationnels concernent la mise en place de bonnes politiques de sécurité appuyées par des procédures et des plans d'intervention appropriés, des plans d'action d'urgence et une formation continue en matière de sécurité, suivis par un personnel de sécurité et de sécurité publique sur place bien formé et qualifié pour renforcer la sécurité.
Conclusion : les professionnels de la sécurité veulent que l'accès et la sortie du bâtiment soient étroitement contrôlés à tout moment afin de ne pas créer de vulnérabilités, de retarder la progression des auteurs afin que la sécurité ait le temps de réagir et d'empêcher les violations du programme de sécurité du bâtiment.
La science codifiée du feu peut-elle protection et l'art non codifié de la sécurité coexistent-ils efficacement ? Nous croyons qu'ils le peuvent avec l'aide de bonnes pratiques de planification, d'efforts d'intégration et de communications ouvertes entre les disciplines.
feu ProtecConflits de sécurité et de sécurité : comment gérer au mieux la situation
Tout type de conflit de conformité au code entre fire protecproblèmes de sécurité, pris au cas par cas, peuvent être résolus. Voici plusieurs exemples :
Impact des mesures de sécurité physique sur la sécurité incendie
Conflit. Pour de nombreuses propriétés, en particulier les bâtiments fédéraux, un retrait de sécurité de 100 pieds est créé pour réduire la vulnérabilité du bâtiment aux voitures ou aux camions piégés. Afin d'établir cette marge de recul, il est nécessaire de construire un mur anti-bélier autour du périmètre de la propriété.
De plus, des postes de garde d'entrée de sécurité sont créés avec des portes et des barricades anti-bélier. Le personnel de sécurité des postes de garde inspecte tous les véhicules entrant dans l'installation pour s'assurer qu'ils sont autorisés à visiter le site et que les véhicules ne contiennent aucune contrebande sous forme d'explosifs ou de matières CBR (chimiques/biologiques/radiologiques).
Du point de vue du service d'incendie, ces dispositifs de sécurité physique pourraient entraver l'accès des pompiers à l'installation en cas d'urgence. Dans certains cas, même un léger retard dans l'arrivée sur les lieux de l'incendie pourrait permettre à l'incendie de croître en taille et en intensité, mettant ainsi en danger des vies humaines et des biens et entravant la capacité du service d'incendie à lutter efficacement contre l'incendie.
Résolution. La résolution de ce conflit apparent dépend de la prise d'une série de mesures d'action :
- Installation d'incendie à la fine pointe de la technologietecsystèmes de protection, d'alarme et d'extinction dans le bâtiment pour attraper et éteindre un incendie à ses débuts.
- Amélioration des moyens de signaler un incendie et d'appeler les secours en temps opportun. Cette étape comprendrait la fourniture aux pompiers d'intervention des informations procédurales sur où et comment entrer dans le site et l'installation tout en protecl'intégrité de la sécurité du site et de l'installation.
- Formation et formation d'une équipe d'intervention d'urgence, composée de personnes formées et chargées de fonctionner comme premiers opérateurs d'intervention de l'équipement d'extinction d'incendie sur le site.
- Inclusion dans le plan de sécurité opérationnelle d'une procédure, qui donne aux agents de sécurité l'autorisation de déposer la barricade anti-bélier à l'entrée principale et/ou aux autres points d'accès d'urgence stratégiques du site, permettant aux véhicules d'urgence d'accéder plus rapidement et de manière contrôlée à la scène de l'incendie.
Toutes les actions ci-dessus permettraient de gagner du temps en cas d'incendie tout en protecl'intégrité du périmètre de sécurité de l'installation. Créez le plan, puis travaillez le plan.
Équilibrer la sécurité incendie et la sécurité physique dans les halls d'ascenseur
Conflit. La majorité des immeubles de grande hauteur existants ont été conçus à l'origine pour ce que l'on pourrait appeler une sécurité « étage par étage ». Lorsqu'un visiteur sortait de l'ascenseur à n'importe quel étage, il était accueilli par un réceptionniste ou un personnel de sécurité dans le hall de l'étage qui déterminait si le visiteur était attendu et autorisait ensuite l'accès par des portes contrôlées à l'étage.
Une fois qu'il est devenu trop coûteux de maintenir du personnel à chaque étage pour contrôler l'accès, la sécurité a été assurée par une combinaison de portes/portes verrouillées et de systèmes de contrôle d'accès électroniques qui permettaient un accès automatisé à travers ces portes. Ces physiques et tecLes mesures de sécurité techniques enfermaient essentiellement les personnes qui descendaient de l'ascenseur dans un espace confiné, c'est-à-dire le hall de l'ascenseur de l'étage. Ils ne pouvaient accéder à d'autres zones de l'étage qu'en utilisant un téléphone spécial pour appeler quelqu'un à l'intérieur de la zone sécurisée ou en insérant une carte de contrôle d'accès autorisée dans un lecteur électronique. Si l'accès leur est refusé, ils peuvent simplement appeler l'ascenseur et quitter l'étage.
Malheureusement, en cas d'incendie, les ascenseurs sont immédiatement rappelés au niveau de la rue et mis hors service. Les codes de sécurité des personnes exigent que les occupants du bâtiment piégés dans un hall sécurisé sur un étage doivent disposer d'au moins un - et souvent deux - moyens de sortie sous la forme de cages d'escalier de sortie de secours menant au niveau de la rue. Dans les bâtiments où ces sorties sont situées dans la zone sécurisée, les systèmes de contrôle d'accès doivent être désactivés pour permettre aux personnes d'accéder aux cages d'escalier. Cela viole la sécurité et permet à des personnes non autorisées d'accéder à tout l'étage.
Résolution. Dans les nouveaux projets de construction, architects devraient tenir compte de la situation en matière de sécurité lors de la conception des cages d'escalier d'issue de secours. Si les cages d'escalier sont situées à proximité des ascenseurs et dans l'espace confiné du périmètre de sécurité, les personnes qui descendent de l'ascenseur peuvent avoir accès aux cages d'escalier de sortie sans compromettre la sécurité de l'étage en créant des couloirs non sécurisés qui mènent à ces cages d'escalier de sortie.
Dans les projets impliquant la rénovation de bâtiments existants, où les cages d'escalier de sortie sont situées à l'écart des ascenseurs, les concepteurs de sécurité peuvent équiper la zone de portes avec alarme et de caméras de surveillance. Bien que les visiteurs non autorisés auront accès à la zone sécurisée en cas d'urgence incendie, leur présence dans la zone sécurisée sera detected et leurs mouvements suivis par le personnel de sécurité du bâtiment. La création de couloirs non sécurisés entre le hall d'étage et les cages d'escalier de sortie peut également être envisagée, si possible.
Solutions de désenfumage du hall d'atrium
Conflit. Professionnel du feutecLes ingénieurs de construction basent leurs conceptions de systèmes de désenfumage pour les halls d'atrium sur le fait que toutes les portes seront ouvertes en cas d'incendie. Cela permet au système de désenfumage de fonctionner correctement en aspirant de l'air d'appoint de l'extérieur à travers les portes.
Mais, dans un immeuble sécurisé, c'est tout le contraire qui peut se produire. Le protocole de sécurité peut exiger que toutes les portes du hall se verrouillent en cas d'urgence. Cette action peut rendre le système de désenfumage inopérant.
Résolution. Travaillant en étroite collaboration avec le concepteur sécurité, le pro incendietecingénieur peut spécifier des volets spéciaux installés dans les murs ou le plafond de l'atrium. Le résultat net est que le système de désenfumage reçoit l'apport d'air frais nécessaire et que la sécurité du bâtiment reste intacte.
Gérer le Fire Protection et sécurité Conflits des issues de secours
Conflit. Pour assurer une sécurité maximale des personnes en cas d'incendie - en particulier dans un bâtiment scolaire - les principaux points d'entrée/sortie sont complétés par de multiples portes de sortie de secours avec alarme. La mission est de faire sortir le plus de personnes possible de l'école dans les plus brefs délais.
Le principe de base de la sécurité est de limiter le nombre de portails d'entrée et de sortie normaux, le nombre optimal étant « un », c'est-à-dire un seul portail d'entrée et de sortie.
La présence de portes issues de secours, même équipées d'alarmes, pose de multiples risques de sécurité. Par exemple, un élève peut ouvrir une issue de secours, recevoir des armes, de la drogue ou d'autres objets de contrebande d'un complice extérieur et s'échapper sanstecramené dans l'établissement scolaire.
Résolution. Il existe une solution simple en deux étapes à cette situation. Tout d'abord, minimisez le nombre de points d'entrée/sortie principaux et mettez en place des procédures de contrôle d'accès à ces points. À chaque vestibule, il n'y a qu'un seul ensemble de portes d'entrée et de sortie actives, tandis que toutes les autres portes de sortie de secours du vestibule sont équipées d'une quincaillerie de sortie uniquement, c'est-à-dire pas de quincaillerie de porte extérieure.
Deuxièmement, installez des alarmes sur toutes les portes du vestibule ainsi que des dispositifs d'alarme locaux et des caméras de vidéosurveillance à chaque vestibule de sortie de secours. Lorsque l'alarme de la porte de sortie est activée, le personnel de sécurité peut être averti immédiatement afin que les mesures appropriées puissent être prises. Le cas échéant, des dispositifs d'alarme locaux peuvent être activés pour attirer localement l'attention sur l'infraction.
De plus, les serveurs vidéo et les matrices de stockage peuvent être configurés pour enregistrer en continu les images de la caméra vidéo à chaque issue de secours à des fins de preuve. Alternativement, les serveurs vidéo et les matrices de stockage peuvent être automatiquement activés pour commencer l'enregistrement lors de l'activation de l'alarme.
Résoudre le conflit entre les protocoles de sécurité incendie et de sécurité physique lors d'une évacuation de bâtiment
Dans la plupart des bâtiments publics aujourd'hui, la sécurité a été renforcée avec le positionnement d'agents de sécurité et le contrôle technologie aux principaux portails d'entrée et de sortie au rez-de-chaussée. L'acheminement des personnes vers un « goulot d'étranglement » permet aux agents de sécurité d'observer les personnes entrant dans le bâtiment, d'effectuer des inspections et de vérifier l'identité du visiteur et le but de la visite. La réduction du nombre de points d'entrée/sortie ainsi que la surveillance accrue ralentissent le flux de personnes entrant et sortant du bâtiment. Aux yeux du responsable de la sécurité du bâtiment, il s'agit d'un prix acceptable à payer pour un environnement de bâtiment sécurisé.
Les sapeurs-pompiers, cependant, le voient d'un point de vue différent. Lorsqu'une alarme incendie est déclenchée, ils veulent que les gens soient évacués immédiatement du bâtiment. De plus, leur principale préoccupation est d'obtenir un accès rapide des pompiers à l'intérieur du bâtiment dans le but de localiser et d'éteindre un incendie. Dans leur esprit, la violation de la sécurité est un coût nécessaire pour éventuellement sauver des vies.
Résolution vers Fire ProtecConflits de sécurité et de sécurité. En travaillant ensemble, la direction du bâtiment et les responsables des incendies doivent élaborer un plan selon lequel les premiers intervenants formés sont tenus d'inspecter la zone d'alarme avant l'évacuation du bâtiment. Le temps de réponse pour ce processus de vérification peut être considérablement réduit grâce à l'utilisation de caméras vidéo IP numériques assurant la surveillance des zones sous alarme pour la gestion du bâtiment et à distance pour les pompiers qui interviennent. Une fois qu'une situation d'incendie a été vérifiée, l'alarme d'évacuation peut être déclenchée.
En outre, la gestion du bâtiment doit également développer une stratégie de sortie basée sur des modèles de sortie créés pour chaque étage du bâtiment. Ces études sont d'une importance cruciale dans la création de procédures de sortie qui aideront à assurer une évacuation ordonnée du bâtiment.
feu ProtecConflits sociaux et sécuritaires : les clés du succès
Succès en termes de réduction des incendies protecLes conflits de sécurité et de sécurité sont atteints lorsqu'un environnement sûr et sécurisé pour les occupants peut être maintenu 24 heures sur 7, XNUMX jours sur XNUMX. Ce type d'environnement ne sera réalisé que lorsque le bâtiment répondra à toutes les exigences de sécurité des personnes et d'incendie.teccodes de conduite, ainsi que les meilleures pratiques éprouvées et les principes fondamentaux d'une bonne sécurité. Les clés pour établir un tel environnement comprennent :
- Implication précoce par Fire Protecprofessionnels de la sécurité et de la sécurité. Arcstecles ts et les ingénieurs doivent impliquer à la fois le pro du feutection et le professionnel de la conception de la sécurité dès les premières étapes de la conception des bâtiments. Non seulement cela fournira un bâtiment plus sûr et plus sécurisé, mais cela fera gagner du temps et de l'argent au propriétaire du bâtiment en minimisant le nombre de modifications post-construction nécessaires pour s'adapter aux mesures de sécurité renforcées.
- Intégration de fire protection et de sécurité. Ce qui ressort d'une ambiance de coopération entre fire protection ingénieurs et consultants en conception de sécurité est un plan directeur intégré qui se traduit par des niveaux plus élevés de sûreté et de sécurité et une meilleure rentabilité. Codes et normes pour les professionnels du feutecsont remplies et, en même temps, les attentes de sécurité du propriétaire du bâtiment et des locataires sont réalisées.
- Compréhension par les AHJ. Comme c'est le cas pour la sécurité, tous les aspects de la conception, de l'exploitation et de l'entretien des bâtiments ne peuvent pas être codifiés. Par conséquent, tout comme les professionnels du feu basés sur les performancestection se révèle être une alternative efficace à la conformité prescriptive au code, aux méthodes éprouvées d'architecnaturel, tecLa conception technique et opérationnelle de la sécurité doit être reconnue et comprise par les autorités compétentes. Qu'il s'agisse d'un code, d'une norme de bonnes pratiques ou d'un principe éprouvé, l'intention est la même : pour fournir un environnement de sûreté et de sécurité.
Guillaume Saco est vice-président et responsable des pratiques d'entreprise de Security Risk Consulting pour Telgian Engineering & Consulting, LLC. Telgian est un fournisseur mondial de services complets de conseil et d'ingénierie en matière de sécurité, d'incendie, de sécurité des personnes et de gestion des urgences. M. Sako est l'un des consultants en sécurité les plus expérimentés aux États-Unis. Son travail, qui s'étend sur plus de cinq décennies pour le gouvernement, les entreprises privées et les établissements d'enseignement, démontre une approche sensée de la sécurité sans l'émotion qui survient lorsque des événements dramatiques se produisent.